Le phénomène GTA 6 attise les passions avant même sa sortie
Avec plus de 110 millions de vues en seulement deux semaines, le deuxième trailer de GTA 6 témoigne d’un engouement hors normes. Rockstar Games, à l’origine de cette saga légendaire du jeu vidéo, reste fidèle à sa réputation en suscitant une attente frénétique. Face à cette impatience collective, les fans multiplient les hommages, analyses et projets créatifs, à l’image du travail de Foosmoke.
Une plongée dans l’univers de Vice City version rétro
Foosmoke a réalisé une adaptation du trailer 2 de GTA 6 dans le style graphique des jeux PS2, en utilisant notamment les éléments visuels de GTA: Vice City, sorti en 2002. Le rendu volontairement rétro reprend les limites techniques de l’époque : textures simplifiées, faiblesse des polygones et animation rudimentaire. Pourtant, cette vidéo parvient à recréer fidèlement l’atmosphère et la mise en scène du trailer original.
Le couple de protagonistes, Lucia et Jason, y apparaît sous une forme pixelisée, mais reconnaissable, dans une Vice City modernisée — un clin d’œil aux origines tout en annonçant le futur.
Un travail d’adaptation qui rend hommage à deux décennies de GTA
Le « Demake » de Foosmoke impressionne non seulement par sa fidélité à l’esprit de GTA 6, mais aussi par sa capacité à reproduire les codes esthétiques des jeux du début des années 2000. La vidéo reprend plan par plan le trailer officiel, tout en l’intégrant dans le moteur graphique vieilli de la PS2. Le charme opère immédiatement auprès des fans nostalgiques, et suscite même le fantasme d’un jeu rétro imaginé dans l’univers du prochain GTA.
Ce type d’initiative démontre à quel point Grand Theft Auto est devenu une icône culturelle transgénérationnelle, dont l’impact dépasse largement le cadre du jeu vidéo.
Le vrai GTA 6, quant à lui, est attendu pour le 26 mai 2026, selon les dernières prévisions, avec une sortie initiale sur PlayStation 5 et Xbox Series, suivie plus tard d’une version PC. Le jeu nous replongera dans une Vice City contemporaine, en rupture avec l’ambiance 80s du titre original, mais toujours empreinte de décadence, de satire sociale et d’un gameplay ouvert d’une richesse inégalée.