Mais, voilà que le vent de l’horreur souffle à nouveau avec des rumeurs sur Resident Evil 9. Alors, préparez-vous, car on dirait que Capcom nous réserve encore quelques nuits blanches.
Les murmures du web
Il semblerait que le titre provisoire du jeu soit “Resident Evil Apocalypse”, ce qui laisse présager une ambiance de fin du monde.
Des fuites suggèrent que le jeu pourrait se dérouler dans une ville fantôme de l’ouest, peuplée de créatures mythiques comme des hommes-chèvres et des wendigos.
Imaginez un peu l’atmosphère, avec des pleines lunes et des rituels occultes.
Des nouveautés à l’horizon ?
Capcom n’a pas encore confirmé ces informations, mais les fans spéculent déjà sur les nouveautés que pourrait apporter ce nouvel opus.
On parle de décors variés, allant de grottes sombres à des rivières mystérieuses, sans oublier une petite ville et même un camping. Un cadre parfait pour des rencontres inattendues avec l’au-delà.
Un gameplay revisité ?
Les rumeurs vont bon train concernant le gameplay. Certains ennemis pourraient prendre une forme humaine, se faisant passer pour des alliés avant de révéler leur vraie nature.
Une mécanique qui pourrait ajouter une couche supplémentaire de tension et de méfiance dans notre aventure.
Et les personnages ?
On parle d’une nouvelle antagoniste principale, une certaine Glaistig, vêtue d’une robe verte ornée d’or et rappelant une sorcière.
Elle pourrait bien être le fil rouge de ce nouvel épisode, un peu comme Lady Dimitrescu dans le précédent. Et qui sait, peut-être aurons-nous droit à de nouveaux alliés ou à des retours inattendus.
Entre espoir et prudence
Bien sûr, tout cela n’est que spéculation jusqu’à ce que Capcom nous donne le feu vert. Mais une chose est sûre, si Resident Evil 9 est à la hauteur de ses prédécesseurs, nous sommes en droit d’attendre un jeu qui marquera les esprits.
Alors, Apocalypse ou Renaissance ? Seul l’avenir nous le dira, mais une chose est certaine : on a hâte de voir ce que Capcom nous réserve pour la suite de cette saga légendaire.
Restez à l’écoute, car la prochaine peur pourrait être juste au coin de la rue.