Top 10 – Nos jeux Genesis préférés pour célébrer ses 30 ans!

On ouvre le bal avec le choix de Guillaume. Et quel meilleur représentant de la Genesis que le plus célèbre des hérissons. Sans compter qu’il est le plus rapide et surtout, qu’il n’est plus seul. Accompagné par son ami fidèle Miles “Tails” Prower, Sonic vit parmi ses meilleures aventures dans ce volet qui sublime tout ce que le premier avait mis en place. Un vrai bijou. Et on ne parle pas des émeraudes à collecter dans le jeu. En passant, Guillaume nous dit qu’il connait, par cœur, les tounes de tous les niveaux. On vous laissera le mettre au défi…

Pier-Luc est un amateur de la Genesis comme vous allez le voir. Son premier choix se porte sur Columns et pas nécessairement pour son gameplay mais pour sa musique. C’est l’élément qui lui est resté le plus en tête. En tout cas on salue bien bas cette alternative à Tetris qui permettait de jouer sur les couleurs bien avant Tetris Effect.

Shining Force II est bien le jeu préféré d’Antoine sur Genesis (ou Mega Drive comme on l’appelait dans sa France natale). Un vrai bon tactical RPG, très dur façon Fire Emblem mais à la sauce SEGA. Les nombreux personnages, tous très travaillés, enrichissent l’intrigue et l’univers de la meilleure des façons.

Notre Ludologue a pour sa part choisi Golden Axe, la fameuse version vidéoludique de Conan le Barbare. Après avoir sélectionné l’un des trois personnages en début d’aventure on va se frotter à une horde de monstres tous plus féroces les uns que les autres. Une excellente trilogie qui aura, comme d’autres, souffert de son passage à la 3D.

“Finish Him!” La voix du commentateur résonne encore dans les oreilles de nombreux joueurs. Car c’est bien de Mortal Kombat qu’il s’agit, l’un des jeux préférés de Pier-Luc et comme on le comprend. Les personnages sont encore plus nombreux, les fatalités toujours plus sanglantes et les parties à 2 tout aussi plaisantes.

D’une difficulté presque sadique, Comix Zone a sa place dans ce classement car il est sacrément beau et cohérent avec son thème. Pour rappel on incarne un jeune dessinateur de comics qui se retrouve coincé dans sa création et à devoir affronter les monstres créés par l’antagoniste qui, lui, se retrouve dans le monde réel à torturer notre héros. On navigue ainsi de case en case avec une interface merveilleuse à base de “POW” et de “WACK”.

Nous sommes sûrs qu’à la simple évocation de ce nom, vous avez soit dodeliner de la tête, soit fait craquer vos jointures. Entre la musique sublime de Yuzo Koshiro et la baston qui ne cesse jamais, on ne s’ennuie pas dans ce deuxième volet, le meilleur de toute la série. Tout simplement.

“Welcome to NBA Jam!” s’exclamait la voix-off avant de lancer la musique du menu, l’une des plus mémorables. Là où la mode était aux jeux de sport réalistes (oui, bon, vu l’époque… mais tout de même), NBA Jam donne dans l’arcade pur et dur avec des parties à deux-contre-ceux. On glisse sur le terrain qu’on traverse en une seconde à peine pour venir mettre un slam dunk dans la face à l’adversaire. Un vrai bonheur!

Si la Genesis a donné d’excellents jeux originaux, elle a également permis à des licences de se démarquer de la meilleure des façons. C’est pour cela, entre autres, que Pier-Luc a choisi Castle of Illusion, le premier jeu de plateforme mettant en scène la célèbre souris de Disney. Avec ses effets de lumières merveilleux et sa musique enchanteresse, ce jeu de plateforme est parmi ce qui se fait de mieux dans le genre.

LE jeu de hockey référence sur la 16-bit de SEGA. C’est indéniable. Quels meilleurs souvenirs de jeunesse que ceux passés à chasser la rondelle noire sur la glace blanche sous les cris des spectateurs? Ah… il est loin le temps où l’on s’affrontait sur le canapé, subjugués que nous étions par ce qui apparait désormais comme une bouillie de pixels.